Elle a cuit toute la matinée. Le plus long a été de déprendre sa peau pour y glisser du farcis préparé à la mode d’antan avec des œufs et de la mie de pain. La sauce aux câpres et au concentré de tomates venant napper ce délicieux mélange de blanc de poule, de farcis et de légumes ajoutait à la nostalgie des agapes passées. Je n’ai pas trouvé de différence avec la poule bouillie que préparait maman. Merci Marie-Paule de ressusciter ces recettes que les meilleurs cordons bleus ne sauraient égaler !
Je veux partager avec vous la fierté qui étreint mon coeur : mon fils ainé Alexandre a eu son code avec 0 fautes. Toute cette gloire rejaillit sur nous, bien sûr !! Bravo mon fils !!
De retour de la manif, dépités de ne l’avoir pas trouvée, à la fin du repas (tardif)...
Dis, chérie, après ce frugal repas, et malgré les délicieuses poires au vin que tu nous avais préparées, que dirais-tu d’un bon fruit frais pour nous défatiguer ?
Non, merci, je suis repue !
Mais pour une prune ou un brugnon, il y a toujours de la place, ça se mange sans faim !
Non, non et non ! Je ne suis pas une Dupeyré moi !
Depuis Lundi dernier, nous avons Paulina à la maison. Elle est la correspondante allemande d’Alexandre. Une fille à la maison ! Ca nous change et je pense qu’Alex n’y est pas indifférent...
Der Vater